Analyse

Suppression des ZFE, des maires dénoncent « un vote contre la santé »

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Initiée en 2019, cette politique vise à limiter les émissions de particules fines, responsables de 40 000 décès prématurés par an, selon Santé publique France.
Initiée en 2019, cette politique vise à limiter les émissions de particules fines, responsables de 40 000 décès prématurés par an, selon Santé publique France. PHILIPPE LOPEZ / AFP
Mercredi 28 mai, les députés ont voté pour la fin des zones à faibles émissions. Depuis, certains élus des villes concernées par le dispositif montent au créneau pour dénoncer un recul en matière de santé publique et de transition écologique.

« Un vote contre la santé », « un signal de recul inacceptable »… Depuis deux jours, les réactions des édiles de métropoles pleuvent aux quatre coins de la France après le vote, mercredi 28 mai, de la suppression des zones à faibles émissions (ZFE) à l’Assemblée nationale. Ces espaces excluent de leur périmètre certaines voitures très anciennes et polluantes, identifiées selon le dispositif Crit’Air qui classe les véhicules de 1 à 5 et même hors classe pour les plus vieux.

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