La Croix L’Hebdo : Comment ça va ?
Atef Aouadhi : Plutôt bien. Un peu comme à la fin d’un marathon. Avec ma maison de disques October Tone, nous sortons d’une campagne de financement participatif : elle consistait à sensibiliser le public à nos actions, notamment de tourneur et organisateur d’événements indépendant, qui ne reçoit pas de grosses subventions… Nous avons donc besoin de ces dons privés. Nous venons d’atteindre 10 000 €. Un objectif presque rêvé : c’est ce qu’il nous fallait pour sortir la tête de l’eau. Et continuer à payer Mike, notre premier salarié en CDI.
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