En politique comme dans la vie quotidienne, il n’est guère fréquent que l’anthropologie se glisse dans les conversations. Est-ce pour cela que l’expression « rupture anthropologique » apparue lors des discussions sur la fin de vie se fait remarquer ? Elle a gagné en notoriété en étant reprise par le ministre de l’intérieur Bruno Retailleau, le 11 mai, puis par la tribune de la Conférence des responsables de culte en France (CRCF) qui, le 15 mai, alerte sur « les dangers d’une rupture anthropologique » liée à l’ouverture d’un droit inédit à « l’aide à mourir ».
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