À l’accueil des familles du centre pénitentiaire de Paris la Santé, dans le 13e arrondissement, des guirlandes en papier colorées lévitent sur des murs fleuris par des dessins d’enfants. C’est ici, rue Messier, que les familles des personnes incarcérées à la prison de la Santé – la dernière prison parisienne – patientent, en attendant d’être conduites au parloir. Un dispositif d’accueil instauré il y a vingt-cinq ans par les Équipes Saint-Vincent (1), dont l’objectif est de maintenir le lien entre les détenus et leur famille.
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